Dear Mister Jobs,
I have recently been exposed to the video of you releasing your latest product, the iPad, and I thought that you did not look too enthusiastic about it. Of course I am not too impressed by it myself, even though I am a happy iPhone owner from the day it was released in Canada. It is a truly remarquable product this iPhone 3G. The only Apple product I own by the way and so far the only one I intend to own. But I digress; this letter is about your Keynote and the iPad.
I can’t help but remember, was it you or your PR team saying that: NO TABLET WAS ON THE APPLE ROADMAP. And of course, that was true, it should have stayed that way and you know it. It seems that the only people not getting the message is actually those to whom it was intended: The press and the average geek who built up this whole expectation. And that ended up with your organization punishing the world with the iPad. All that it required was a couple of months of R&D anyway.
For the iPad to actually be great I would have needed a better, more complete, operating system than the iPhone OS but then, you would have sold it 800$ or even 1000$, maybe more. Then you would have competed with your own product line, namely the MacBook’s. This would have been a commercial blunder. Cheaper than the 500$ it will sell for in a few months probably would have been just as stupid. You had all the reasons in the world not to want to market such a thing and a clear message had to be sent to the press and the consumers: “Shut up and stop trying to tell ME (us, you … well Apple and Steve Jobs… whatever pronoun was needed here) what we should do next!”
But you are not without faults in this mess. The culture of secrecy at Apple always was about building hype and expectations… and then, there is Adobe whom Apple was an accomplice that helped them to grow into the monster who owns the same FLASH technology that hurts the iPad because of its Lack of support. Such Irony that you would call it the most greatest of the awesome way to surf the Web (a WHOLE web page at once!) when it can’t render roughly the third of those web pages as intended because they include Flash. I think not many of us saw the irony.
Another beauty is how you managed NOT to squeeze a webcam in there! How did the board of directors let you get away with that? How stupid can they be? I fully understand that YOU want the thing to be a dud but they are in it only for the money. The 4:3 Display was a nice touch as well. Figuring that they usually cost more to manufacture, and that they are now inappropriate for viewing most types of video entertainment, and that most people find 16:9 a "more comfortable for the eye" ratio… You are one deviously vengeful CEO!
Thanks for reading my letter (if you ever did) I hope you find comfort in knowing that at least one Techie out there did get the message and would have liked the joke a whole lot more if others had laughed along. I wish you the best with your vengeance and hope that in time “they” will get the message and shut up. But unfortunately, it (the iPAD) will probably sell better than it should and you (or the next Apple CEO) will spend the next few years perfecting the next generations of the iPad. (The choice of the name probably was part of the vengeance, was it?)
Truly not a fan of the brand,
Cyberpest.
Friday, January 29, 2010
Letter to Steve Jobs
Wednesday, November 5, 2008
Maudite Formule 1! (Pétrole et Beluga : même combat) … Bravo Barack Obama et au diable les diffuseurs canadiens idiots!
Du à mon emploi du temps chargé je n’ai pas beaucoup blogué récemment et je m’en excuse à mes lecteurs. Je me permets malgré tout ce court commentaire sur la course automobile, sur les diffuseurs télévisuels et sur les élections américaines. Bravo peuple américain!
En tant que montréalais et amateur de course automobile (rien à voir avec la famille Villeneuve) je suis évidemment un peu déçu du retrait de Montréal du circuit mais le sport automobile, la F1 en étant une de ses expressions du plus haut calibre, est en train de manquer le bateau.
La Formule 1 et la course automobile ont été les phares du développement technologique dans l’industrie automobile, grâce aux recherches et développements qui y ont eu lieu, les moteurs, l’aérodynamique et toutes les composantes de châssis comme de sécurité ont progressé et ont trouvé leur place dans les véhicules de production. Si aujourd’hui nous avons des cages de sécurité, des freins ABS et des systèmes de contrôle de traction sur nos voitures, c’est grâce aux développements faits sur les circuits de course automobile.
Malheureusement, notre société est à un stade où elle ne peut plus se permettre de persister à dépendre des énergies fossiles, en fait au-delà de la crise économique actuelle, une crise énergétique sévère nous attends et il semblerait qu’on fasse la sourde oreille aux signes avant coureurs. Du pétrole, un peu comme des bélugas il y en a de moins en moins et pour rappeler à un ami qui m’a récemment dit : « J’en ai assez du prix de l’essence, maudits voleurs » Je suis bien content que le prix monte, s’il peut continuer de monter peut-être activerons nous la recherche dans les énergies alternatives. Persister à vendre l’essence à 59 cents le litre jusqu’à la dernière goute ferait de l’industrie de l’énergie le prochain désastre, un peu comme la spéculation excessive est en train de ruiner les marchés boursiers en maintenant les valeurs artificiellement gonflées.
La Formule 1, en tant que sport d’élite devrait être la première à instaurer des règles visant l’économie de carburant, peut-être en commençant par interdire les ravitaillements en course, puis en fixant la taille des réservoirs. Continuer à courir comme ils le font aujourd’hui équivaut presque à un championnat de chasse au béluga, c’est carrément épais… Je crois donc qu’en tant que société sensible et progressiste nous devrions voir la fin de la Formule 1 à Montréal comme une opportunité de lancer une nouvelle classe de course automobile utilisant soit des carburants propres ou des véhicules électriques. Un circuit national de courses alternatives pourrait voir le jour et montrer à la FIA et au monde entier la voie de l’avenir.
Dans un autre ordre d’idées, MTV a mis en ligne toute sa vidéothèque mais les droits d’auteurs leur interdit de permettre le visionnement hors USA. Pas besoin d’être un géni pour comprendre que le publique ne va plus bien longtemps accepter de s’asseoir devant la TV pendant des heures espérant que la chaine ne daigne passer la pièce vidéo-musicale qu’ils veulent voir. Mais les diffuseurs canadiens trainent de la patte… à tous les Much music et Musique plus… à tous les Global qui diffusent les séries américaines mais ne placent pas les épisodes passés sur leur site… je fais un doigt d’honneur. NON je ne vais pas attendre les reprises, je vais acheter la série et vous irez au diable avec vos revenu publicitaires en chute. Payez la redevance aux diffuseurs américains et offrez le streaming des vidéos au plus vite ou vous manquerez le bateau.
VIVE L'ACCÈS UNIVERSEL!
En tant que montréalais et amateur de course automobile (rien à voir avec la famille Villeneuve) je suis évidemment un peu déçu du retrait de Montréal du circuit mais le sport automobile, la F1 en étant une de ses expressions du plus haut calibre, est en train de manquer le bateau.
La Formule 1 et la course automobile ont été les phares du développement technologique dans l’industrie automobile, grâce aux recherches et développements qui y ont eu lieu, les moteurs, l’aérodynamique et toutes les composantes de châssis comme de sécurité ont progressé et ont trouvé leur place dans les véhicules de production. Si aujourd’hui nous avons des cages de sécurité, des freins ABS et des systèmes de contrôle de traction sur nos voitures, c’est grâce aux développements faits sur les circuits de course automobile.
Malheureusement, notre société est à un stade où elle ne peut plus se permettre de persister à dépendre des énergies fossiles, en fait au-delà de la crise économique actuelle, une crise énergétique sévère nous attends et il semblerait qu’on fasse la sourde oreille aux signes avant coureurs. Du pétrole, un peu comme des bélugas il y en a de moins en moins et pour rappeler à un ami qui m’a récemment dit : « J’en ai assez du prix de l’essence, maudits voleurs » Je suis bien content que le prix monte, s’il peut continuer de monter peut-être activerons nous la recherche dans les énergies alternatives. Persister à vendre l’essence à 59 cents le litre jusqu’à la dernière goute ferait de l’industrie de l’énergie le prochain désastre, un peu comme la spéculation excessive est en train de ruiner les marchés boursiers en maintenant les valeurs artificiellement gonflées.
La Formule 1, en tant que sport d’élite devrait être la première à instaurer des règles visant l’économie de carburant, peut-être en commençant par interdire les ravitaillements en course, puis en fixant la taille des réservoirs. Continuer à courir comme ils le font aujourd’hui équivaut presque à un championnat de chasse au béluga, c’est carrément épais… Je crois donc qu’en tant que société sensible et progressiste nous devrions voir la fin de la Formule 1 à Montréal comme une opportunité de lancer une nouvelle classe de course automobile utilisant soit des carburants propres ou des véhicules électriques. Un circuit national de courses alternatives pourrait voir le jour et montrer à la FIA et au monde entier la voie de l’avenir.
Dans un autre ordre d’idées, MTV a mis en ligne toute sa vidéothèque mais les droits d’auteurs leur interdit de permettre le visionnement hors USA. Pas besoin d’être un géni pour comprendre que le publique ne va plus bien longtemps accepter de s’asseoir devant la TV pendant des heures espérant que la chaine ne daigne passer la pièce vidéo-musicale qu’ils veulent voir. Mais les diffuseurs canadiens trainent de la patte… à tous les Much music et Musique plus… à tous les Global qui diffusent les séries américaines mais ne placent pas les épisodes passés sur leur site… je fais un doigt d’honneur. NON je ne vais pas attendre les reprises, je vais acheter la série et vous irez au diable avec vos revenu publicitaires en chute. Payez la redevance aux diffuseurs américains et offrez le streaming des vidéos au plus vite ou vous manquerez le bateau.
VIVE L'ACCÈS UNIVERSEL!
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Saturday, August 9, 2008
Gaspillage!
Je ne parlerai pas des compétiteurs de l’iPhone immédiatement, certain des produits n’étant pas encore sur le marché trop de données sont encore incertaines pour faire une comparaison complète. Je dirai seulement qu’après un mois, l’utilisation avec G-mail est ce qui fonctionne le mieux pour moi. Par contre, il y a un sujet qui me trotte dans la tête depuis un certain temps et ce dernier n’est pas relié à la « haute » technologie. Je veux parler du gaspillage.
N’allez pas vous imaginer que je suis un pur et dur, qui mange du tofu à la luzerne et porte des vêtements de chanvre. Non, comme vous l’avez déjà lu, je suis de l’ordre des consommateurs avertis et de ceux qui croient que le travail fait intelligemment vaut 100 fois le travail acharné.
Tout d’abord, je vais clarifier un point, il est courant que le recyclage serve à donner bonne conscience aux gaspilleurs, le recyclage demande d’énormes quantités d’eau (qu’on gaspille déjà amplement) et d’énergie ainsi que de carburant pour le transport des matières. Cette partie de l’équation est souvent mise de coté. Je ne dis pas qu’il faut cesser le recyclage, bien au contraire mais le recyclage comme je le disais donne bonne conscience à notre société de surconsommation.
Mon premier exemple est le « publisac » et les autres moyens de publicité imprimés. Livrés à votre porte sans les avoir demandés ces tonnes de papier vont bien souvent de la boite à la lettre au bac à recyclage. Oui une bonne partie du papier utilisé provient du recyclage mais l’eau usée par le processus, qui s’en soucie? Certainement pas les démons du Marketing qui persistent à nous y exposer systématiquement. Il est possible de se désabonne du publisac, pour cela il faut contacter l’entreprise en faisant la livraison, faire preuve de résidence et apposer un autocollant sur sa porte. Un effort que bien des gens ne sont pas prêts à faire. Le gaspillage continue…
Viennent ensuite les magasins spécialisés dans les bas prix, l’exemple parfait serait le Dolorama et ses semblables. Acheter à un ou deux dollars certains produits non nécessaires et d’utilité douteuse qui vont remplir nos poubelles quelques jours plus tard a un poids environnemental considérable. Oui, certain produits qui sont vendus dans ces magasins sont de qualité équivalente à ceux vendus ailleurs, exemples : la gomme à mâcher et les papiers mouchoirs. Ceux que je mets en cause sont les épées de pirates en plastique faits en chine et les bibelots moches pour ne donner que deux exemples. Le prix est bas, notre enfant ri pendant quelques minutes et elles se retrouvent à la poubelle : Cassées. Pas de chances que ce comportement s’arrête de lui-même on aime trop dépenser notre argent surtout quand c’est en petites quantités.
Des tas d’autres cas de gaspillage systématiques existent et aucune volonté de s’y attaquer sérieusement ne semble se pointer. Il est plus que temps qu’on ait une loi anti-gaspillage. Les exemples que j’ai choisis pourraient se régler comme suit :
- Un règlement contre la distribution médiatique non sollicitée, ce qui forcerait les publisacs de ce monde à ne livrer que sous abonnement et non systématiquement à moins d’un refus. Même chose pour la distribution postale « à l’occupant » sans véritable destinataire : pas de livraison. La zone grise… les journaux gratuits… ceux cis diminuent leur tirage si la demande baisse mais leurs revenus publicitaires en sont diminués, ce qui laisse place à un dilemme pour l’exploitant. Imprimer moins pour sauver de l’argent ou imprimer plus et prétendre un plus grand tirrage à facturer aux compagnies qui s’y affichent.
- Une taxe graduelle sur l’importation de produits de faible valeur, moins c’est cher plus c’est taxé avec une exemption pour les produits de première et seconde nécessité. Impensable? NON on surtaxe déjà plein de produits non nécessaires tels que l’alcool et le tabac et des produits plus utiles tels que le carburant. Alors pourquoi pas les épées de pirate en plastique et les cahiers à colorier? Le costume d’halloween vous coutera peut-être quelques dollars de plus l’an prochain mais on cessera de jeter des cahiers à colorier à moitié neufs à chaque semaine. Les familles Rossi et Hart argumenteront que leur modèle d’entreprise est ruiné mais en fait ils pourront toujours continuer leur exploitation en visant des articles plus utiles, ce qui constitue déjà une bonne partie de leurs inventaires.
Je conclurai avec une montée de lait contre les entreprises faisant de la vente en ligne (la nouvelle façon de magasiner) : Cessez d’utiliser le satané POP-CORN d’emballage en mousse! Non seulement ce n’est pas recyclable mais en plus ca fait des petites miettes partout et c’est plein de statique! Les bulles en plastique sont recyclables et amusent les enfants aussi longtemps que les bébelles du Dolorama.
Bonne semaine!
N’allez pas vous imaginer que je suis un pur et dur, qui mange du tofu à la luzerne et porte des vêtements de chanvre. Non, comme vous l’avez déjà lu, je suis de l’ordre des consommateurs avertis et de ceux qui croient que le travail fait intelligemment vaut 100 fois le travail acharné.
Tout d’abord, je vais clarifier un point, il est courant que le recyclage serve à donner bonne conscience aux gaspilleurs, le recyclage demande d’énormes quantités d’eau (qu’on gaspille déjà amplement) et d’énergie ainsi que de carburant pour le transport des matières. Cette partie de l’équation est souvent mise de coté. Je ne dis pas qu’il faut cesser le recyclage, bien au contraire mais le recyclage comme je le disais donne bonne conscience à notre société de surconsommation.
Mon premier exemple est le « publisac » et les autres moyens de publicité imprimés. Livrés à votre porte sans les avoir demandés ces tonnes de papier vont bien souvent de la boite à la lettre au bac à recyclage. Oui une bonne partie du papier utilisé provient du recyclage mais l’eau usée par le processus, qui s’en soucie? Certainement pas les démons du Marketing qui persistent à nous y exposer systématiquement. Il est possible de se désabonne du publisac, pour cela il faut contacter l’entreprise en faisant la livraison, faire preuve de résidence et apposer un autocollant sur sa porte. Un effort que bien des gens ne sont pas prêts à faire. Le gaspillage continue…
Viennent ensuite les magasins spécialisés dans les bas prix, l’exemple parfait serait le Dolorama et ses semblables. Acheter à un ou deux dollars certains produits non nécessaires et d’utilité douteuse qui vont remplir nos poubelles quelques jours plus tard a un poids environnemental considérable. Oui, certain produits qui sont vendus dans ces magasins sont de qualité équivalente à ceux vendus ailleurs, exemples : la gomme à mâcher et les papiers mouchoirs. Ceux que je mets en cause sont les épées de pirates en plastique faits en chine et les bibelots moches pour ne donner que deux exemples. Le prix est bas, notre enfant ri pendant quelques minutes et elles se retrouvent à la poubelle : Cassées. Pas de chances que ce comportement s’arrête de lui-même on aime trop dépenser notre argent surtout quand c’est en petites quantités.
Des tas d’autres cas de gaspillage systématiques existent et aucune volonté de s’y attaquer sérieusement ne semble se pointer. Il est plus que temps qu’on ait une loi anti-gaspillage. Les exemples que j’ai choisis pourraient se régler comme suit :
- Un règlement contre la distribution médiatique non sollicitée, ce qui forcerait les publisacs de ce monde à ne livrer que sous abonnement et non systématiquement à moins d’un refus. Même chose pour la distribution postale « à l’occupant » sans véritable destinataire : pas de livraison. La zone grise… les journaux gratuits… ceux cis diminuent leur tirage si la demande baisse mais leurs revenus publicitaires en sont diminués, ce qui laisse place à un dilemme pour l’exploitant. Imprimer moins pour sauver de l’argent ou imprimer plus et prétendre un plus grand tirrage à facturer aux compagnies qui s’y affichent.
- Une taxe graduelle sur l’importation de produits de faible valeur, moins c’est cher plus c’est taxé avec une exemption pour les produits de première et seconde nécessité. Impensable? NON on surtaxe déjà plein de produits non nécessaires tels que l’alcool et le tabac et des produits plus utiles tels que le carburant. Alors pourquoi pas les épées de pirate en plastique et les cahiers à colorier? Le costume d’halloween vous coutera peut-être quelques dollars de plus l’an prochain mais on cessera de jeter des cahiers à colorier à moitié neufs à chaque semaine. Les familles Rossi et Hart argumenteront que leur modèle d’entreprise est ruiné mais en fait ils pourront toujours continuer leur exploitation en visant des articles plus utiles, ce qui constitue déjà une bonne partie de leurs inventaires.
Je conclurai avec une montée de lait contre les entreprises faisant de la vente en ligne (la nouvelle façon de magasiner) : Cessez d’utiliser le satané POP-CORN d’emballage en mousse! Non seulement ce n’est pas recyclable mais en plus ca fait des petites miettes partout et c’est plein de statique! Les bulles en plastique sont recyclables et amusent les enfants aussi longtemps que les bébelles du Dolorama.
Bonne semaine!
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Thursday, July 24, 2008
Mon iPhone, après 2 semaines.
À priori, je suis toujours satisfait de mon achat. Mais quel critique je serais si je ne trouvais rien à dire de négatif sur l’appareil et si je ne parlais pas de ses faiblesses. Tout d’abord, faisons une liste du publique cible : Les gosses de riches (GR), les Yuppies du plateau et les fanatiques d’Apple (YF), les travailleurs autonomes (TA) et la clientèle d’entreprise(E). Chacune de ces catégories a ses besoins précis.
Les gosses de riches veulent avoir un jouet qui flash. Alors que les Yuppies veulent affirmer leur statut de classe supérieure de la société… se prendre pour un artiste, faire croire qu’ils ont du goût… ce qui est pas mal semblable aux fanatiques d’Apple qui eux passent leur éternel message : j’ai de l’argent et toi t’as tort…
De l’autre coté, la clientèle d’affaire veut un appareil leur permettant de communiquer et trouver de l’information efficacement. La différence se situe au niveau de l’environnement de travail et des infrastructures. Le travailleur autonome est et doit être autonome! Ce qui veut généralement dire des comptes de courriel en ligne pour la mobilité et un compte chez un fournisseur d’accès. Son principal souci est de rester en contact avec ses clients et fournisseurs. La clientèle d’entreprise a accès à une infrastructure de courriel et un accès à distance à des ressources internes ou hébergées. Le principal souci de l’employé sur la route est de rester en contact avec le reste de l’entreprise, et bien sur ses clients.
Voici donc maintenant la liste des principales fonctions manquantes et à quel groupe cible elle manquera le plus :
Messagerie Multimédia ou MMS (GR), Bluetooth stéréo (GR,YF), enregistrement de vidéos (GR), Clavier en mode panoramique, Copier-coller (E, TA), composition vocale (E, TA), absence de fente pour carte mémoire, Batterie non accessible, envoi de contacts et de rendez-vous (E,TA), port infra rouge (E, TA), Synchronisation sans iTunes (E), pas de support pour les sites Flash, pas de support natif pour les fichiers WMA (GR, YF), ajoute de sonneries limité à iTunes (GR, YF)
On voit rapidement que chacun des groupes a été privé de fonctions utiles, certaines comme la carte mémoire et la batterie sont justifiables par le fait que le matériel original et suffisamment généreux pour s’en passer. D’autres comme le clavier en mode panoramique auraient certainement aidé à la saisie rapide de textes pour le courriel et lors de la navigation internet. (qui est plus agréable en mode panoramique) Et finalement l’absence de Flash sur Safari, le navigateur du iPhone, qui au fond est à peu près la norme sur les appareils portatifs.
Comme je l’ai déjà dit dans mon premier article sur le sujet, personne ne pleurera pour les gosses de riches et les yuppies alors vous ne m’en voudrez certainement pas si je passe rapidement sur le sujet, les fanatiques d’Apple vont surement soutenir que le téléphone est parfait malgré ses carences alors eux aussi peuvent bien aller au diable!
La clientèle d’entreprise croit toujours à la nécessité du clavier physique, cette croyance est un peu moins populaire chez les travailleurs autonomes. Personnellement et ma perception a été confirmée par plusieurs chroniqueurs et experts sur le sujet, la perte de performance sur le clavier de l’iPhone est mineure et offre certains autres avantages, par exemple, les caractères accentués sont facilement accessible, pour moi qui échange 60% du temps en français c’est un plus. Un autre besoin qui a été négligé est l’envoi de contacts et de rendez-vous, ces derniers sont CRITIQUES pour la clientèle d’entreprise, encore une fois c’est un peu moins vrai du coté du travailleur autonome mais ca aurait été malgré tout une fonction fort utile. Cela ajouté au fait qu’aucun port infrarouge n’est présent pour palier à l’absence de cette fonction par courriel n’a rien pour faciliter le transfert de données entre usagers. Mais le plus gros défaut pour la clientèle d’entreprise est la nécessité d’utiliser iTunes pour synchroniser avec son PC.
Pour le travailleur autonome installer un logiciel à vocation multimédia sur son poste de travail est une chose relativement courante et simple, par contre à l’intérieur d’une entreprise ayant une politique d’utilisation même moyennement stricte, c’est un sérieux problème : N’installe pas un logiciel qui veut et encore moins un logiciel à vocation non professionnelle. Pour l’utilisateur d’iPhone à moins de connecter à Exchange, la synchronisation des contacts et du calendrier passent par iTunes, et même pour les utilisateurs d’exchange, seul le carnet corporatif est accessible sans iTunes.
Personnellement en tant que travailleur autonome, c’est le support coté courriel et synchronisation sans fil qui me laisse un peu déçu. J’ai fait l’essai de « Mobile Me » mais les performances du service étant trop mauvaise, j’ai du me rabattre sur une autre solution… Par conséquents j’ai du dire à dieux à la synchronisation sans fil du calendrier et des contacts, une nuisance mineure en fait. L’utilisation d’un compte POP (type de compte par défaut pour les clients des grands fournisseurs d’accès) ajoute une opération de gestion des courriels additionnels, soit faire le classement à la fois sur le téléphone et sur l’ordinateur de bureau, à moins d’utiliser 2 comptes séparés mais encore là on manque possiblement la moitié de ses courriels.
L’autre option est d’utiliser un compte IMAP, malheureusement Vidéotron, mon fournisseur, ne semble pas supporter ce service. J’ai donc activé le transfert sur réception via l’interface web du courriel de Vidéotron vers mon compte G-Mail qui lui, supporte le protocole. Connectant mon iPhone à G-Mail via IMAP, maintenant le contenu de ma boite de courriel est identique peu importe l’appareil utilisé, je pourrais même simuler l’envoi de messages utilisant le compte Vidéotron via G-mail grâce à une fonction très pratique de leur système, chose que je vais surement configurer si je choisis de poursuivre l’usage de cette technique que je mets à l’épreuve actuellement.
À venir : Ce que les produits compétiteurs offrent de mieux ou de pire… Samsung Instinct, Blackberry Bold, Sony Xperia et HTC Diamond.
Les gosses de riches veulent avoir un jouet qui flash. Alors que les Yuppies veulent affirmer leur statut de classe supérieure de la société… se prendre pour un artiste, faire croire qu’ils ont du goût… ce qui est pas mal semblable aux fanatiques d’Apple qui eux passent leur éternel message : j’ai de l’argent et toi t’as tort…
De l’autre coté, la clientèle d’affaire veut un appareil leur permettant de communiquer et trouver de l’information efficacement. La différence se situe au niveau de l’environnement de travail et des infrastructures. Le travailleur autonome est et doit être autonome! Ce qui veut généralement dire des comptes de courriel en ligne pour la mobilité et un compte chez un fournisseur d’accès. Son principal souci est de rester en contact avec ses clients et fournisseurs. La clientèle d’entreprise a accès à une infrastructure de courriel et un accès à distance à des ressources internes ou hébergées. Le principal souci de l’employé sur la route est de rester en contact avec le reste de l’entreprise, et bien sur ses clients.
Voici donc maintenant la liste des principales fonctions manquantes et à quel groupe cible elle manquera le plus :
Messagerie Multimédia ou MMS (GR), Bluetooth stéréo (GR,YF), enregistrement de vidéos (GR), Clavier en mode panoramique, Copier-coller (E, TA), composition vocale (E, TA), absence de fente pour carte mémoire, Batterie non accessible, envoi de contacts et de rendez-vous (E,TA), port infra rouge (E, TA), Synchronisation sans iTunes (E), pas de support pour les sites Flash, pas de support natif pour les fichiers WMA (GR, YF), ajoute de sonneries limité à iTunes (GR, YF)
On voit rapidement que chacun des groupes a été privé de fonctions utiles, certaines comme la carte mémoire et la batterie sont justifiables par le fait que le matériel original et suffisamment généreux pour s’en passer. D’autres comme le clavier en mode panoramique auraient certainement aidé à la saisie rapide de textes pour le courriel et lors de la navigation internet. (qui est plus agréable en mode panoramique) Et finalement l’absence de Flash sur Safari, le navigateur du iPhone, qui au fond est à peu près la norme sur les appareils portatifs.
Comme je l’ai déjà dit dans mon premier article sur le sujet, personne ne pleurera pour les gosses de riches et les yuppies alors vous ne m’en voudrez certainement pas si je passe rapidement sur le sujet, les fanatiques d’Apple vont surement soutenir que le téléphone est parfait malgré ses carences alors eux aussi peuvent bien aller au diable!
La clientèle d’entreprise croit toujours à la nécessité du clavier physique, cette croyance est un peu moins populaire chez les travailleurs autonomes. Personnellement et ma perception a été confirmée par plusieurs chroniqueurs et experts sur le sujet, la perte de performance sur le clavier de l’iPhone est mineure et offre certains autres avantages, par exemple, les caractères accentués sont facilement accessible, pour moi qui échange 60% du temps en français c’est un plus. Un autre besoin qui a été négligé est l’envoi de contacts et de rendez-vous, ces derniers sont CRITIQUES pour la clientèle d’entreprise, encore une fois c’est un peu moins vrai du coté du travailleur autonome mais ca aurait été malgré tout une fonction fort utile. Cela ajouté au fait qu’aucun port infrarouge n’est présent pour palier à l’absence de cette fonction par courriel n’a rien pour faciliter le transfert de données entre usagers. Mais le plus gros défaut pour la clientèle d’entreprise est la nécessité d’utiliser iTunes pour synchroniser avec son PC.
Pour le travailleur autonome installer un logiciel à vocation multimédia sur son poste de travail est une chose relativement courante et simple, par contre à l’intérieur d’une entreprise ayant une politique d’utilisation même moyennement stricte, c’est un sérieux problème : N’installe pas un logiciel qui veut et encore moins un logiciel à vocation non professionnelle. Pour l’utilisateur d’iPhone à moins de connecter à Exchange, la synchronisation des contacts et du calendrier passent par iTunes, et même pour les utilisateurs d’exchange, seul le carnet corporatif est accessible sans iTunes.
Personnellement en tant que travailleur autonome, c’est le support coté courriel et synchronisation sans fil qui me laisse un peu déçu. J’ai fait l’essai de « Mobile Me » mais les performances du service étant trop mauvaise, j’ai du me rabattre sur une autre solution… Par conséquents j’ai du dire à dieux à la synchronisation sans fil du calendrier et des contacts, une nuisance mineure en fait. L’utilisation d’un compte POP (type de compte par défaut pour les clients des grands fournisseurs d’accès) ajoute une opération de gestion des courriels additionnels, soit faire le classement à la fois sur le téléphone et sur l’ordinateur de bureau, à moins d’utiliser 2 comptes séparés mais encore là on manque possiblement la moitié de ses courriels.
L’autre option est d’utiliser un compte IMAP, malheureusement Vidéotron, mon fournisseur, ne semble pas supporter ce service. J’ai donc activé le transfert sur réception via l’interface web du courriel de Vidéotron vers mon compte G-Mail qui lui, supporte le protocole. Connectant mon iPhone à G-Mail via IMAP, maintenant le contenu de ma boite de courriel est identique peu importe l’appareil utilisé, je pourrais même simuler l’envoi de messages utilisant le compte Vidéotron via G-mail grâce à une fonction très pratique de leur système, chose que je vais surement configurer si je choisis de poursuivre l’usage de cette technique que je mets à l’épreuve actuellement.
À venir : Ce que les produits compétiteurs offrent de mieux ou de pire… Samsung Instinct, Blackberry Bold, Sony Xperia et HTC Diamond.
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Monday, July 14, 2008
Avant et après, le jour du iPhone 3G
Après une période de silence de ma part, période où je me suis abstient volontairement de commenter le phénomène iPhone. (Espérons que vous n’avez pas cru tout ce qui s’est dit pendant ce temps) voici maintenant tout ce qui n’a pas été dit sur cet appareil! Cette première partie racontera mon cheminement personnel vers la décision de m’en procurer un, viendront ensuite les comparaisons avec les produits concurrents.
Juillet 2007, c’est lors d’un weekend à New York que j’eus mon premier contact avec la première version du sensationnel téléphone multimédia/multi-usages… n’étant pas un fan invétéré des produits Apple, mes attentes étaient relativement basses, pour moi un iPod n’est rien d’autre qu’un lecteur MP3 glorifié et son interface (« Touch » excepté) me parait être une mauvaise farce de Steve Jobs pour voir jusqu’où il pouvait pousser le manque d’intuitivité et que sa clientèle continue malgré tout d’encenser la facilité d’utilisation de son produit (c’est quoi au juste il faut glisser en rond, cliquer et danser de droite à gauche sur le contrôle pour voir ses pièces de musique?)
Les ordinateurs personnels « Mac » quand à eux sont l’exemple même de matériel vendu à gros prix, ne pouvant exécuter nativement que peu d’applications, donc on finit presque toujours par avoir une ou l’autre version de Windows pour s’en sortir… Bref, autant pour moi rester sur Windows sans s’encombrer d’OS-X (ou devrais-je dire OS-Next) De plus, la fameuse réputation du produit d’être destiné aux artistes tient plus de la légende que des faits, même si ces derniers restent fidèles à la marque. La réalité est que même dans ce domaine, le choix des applications restent limitées et le produit « phare » : Photoshop est maintenant plus puissant sur plateforme Windows et à moindre coût… encore là la clientèle touchée niera à mort, c’est à un dogme que je m’attaque en ce moment. Le Mac, c'est un produit pour les yuppies du Plateau Mont-Royal.
Bref, l’appareil m’a malgré tout impressionné, ses faiblesses les plus connues telles le manque de connectivité 3G n’en faisaient pas un produit sans charmes, en fait l’iPhone était tout ce que l’iPod n’aura jamais su être. Vraiment depuis ce temps ma vision d’Apple est qu’ils sont devenus une compagnie de téléphones cellulaires, leurs autres produits n’arrivant pas à la cheville de ce dernier.
Voilà maintenant que Rogers et Fido amènent son successeur au pays et ce dans la controverse la plus terrible (on verra au jour du lancement que l’infrastructure d’Apple était finalement encore pire que la controverse)
Je suis depuis plus d’un an un heureux utilisateur d’un appareil Windows mobile de marque HTC. Ce dernier est pleinement capable de tenir tête à un Blackberry et d’en rajouter, courriel, pièces attachées messagerie texte, synchronisation avec Outlook ou Exchange, la grosse clase… La navigation Web est par contre pénible mais reste un pas en avant de n’importe quel Blackberry. De plus coté synchronisation et applications, c’est le jour et la nuit comparativement au Blackberry desktop. (Qui est un calvaire à répétition coté support) Malgré ma satisfaction relative, mon appareil commence à vieillir (la durée de la batterie n’est plus ce qu’elle était, surtout avec les casques Bluetooth) et le clavier fixe quoi que rapide pour la composition de messages diminue ma surface d’écran lors de la lecture et n’est pas très convivial pour les caractères accentués, de plus lorsque confronté à un bottin d’entreprise (boite vocale) où on doit utiliser le clavier pour composer des noms de famille d’employés pour accéder à leur poste téléphonique, on est complètement perdus! Finalement même avec une carte microSD la gestion de mémoire est problématique, les deux mémoires (fixe et ajoutée) sont traitées séparément et il faut s’y connaître pour bien utiliser la mémoire ajoutée.
Je vois donc en l’iPhone une opportunité de gagner en efficacité. Le clavier de l’écran tactile disparaît quand on n’en a pas besoin, libérant de l’espace pour la lecture et la navigation et ce même clavier se transforme de QWERTY à un clavier pour composition téléphonique où l’alphabet est distribué sur le cadran digital (0 à 9) comme sur un téléphone classique! La gestion de mémoire est tout ce qu’il y a de plus simple : une seule plage mémoire tout usage et la connectivité 3G jointe à un processeur plus puissant que le HTC rend la navigation Web infiniment plus agréable, les pages se chargent rapidement et le rendu à l’écran ne se fait pas attendre et la batterie offre une plus longue vie que celle des appareils comparables. Le dernier clou du cercueil fut les forfaits avantageux que Rogers a annoncés. (Même avant leur offre de 6Go à 30$) comparativement à mon forfait existant me coutant 120$ par mois avant taxes, frais divers et extras… je pouvais avoir un forfait iPhone équivalent en minutes et en Mo de données pour 65$!!
Maintenant vendu à l’iPhone 3G me restait la partie la plus difficile : l’acquérir. Les stocks limités et l’engouement pour le produit promettait de compliquer l’affaire, surtout que je voulais l’avoir pour le premier weekend : party de famille oblige. Quand t’as pas d’enfants et que t’es célibataire (avis aux intéressées) t’es mieux d’avoir une bébelle à comparer à celles des « mononcles » pour dévier la conversation des histoires de couches et de camps de jours. L’iPhone remplirait magnifiquement ce rôle. Ajoutons à cela que je vis en ville et en appartement, je suis en plus exclus des aventures de rénovation, d’aménagement extérieur et de ramonage… j’avais besoin d’une bébelle, c’était critique.
Mes lecteurs me connaissant, j’ai trop de libre arbitre pour aller faire la file comme un mouton, encore moins pour aller camper sur la rue Ste-Catherine! Je devais donc prévoir un plan B au cas où à mon arrivée à 7h AM la fille d’attente aurait pris des proportions bibliques. J’ai donc vérifié avec quelques boutiques Rogers et je choisis de me rabattre si nécessaire à la boutique de place Ville-Marie… Ouverture à 9h30 probablement pas des centaines d’appareils disponibles mais les résultats sont là : j’étais le premier sur place et mon iPhone en main à 10h AM j’étais définitivement plus rusé que les centaines de geeks qui se sont joint à la file pour l’ouverture de 8h sur Ste-Cath! Laissant entrer les clients au compte-goutte et chaque vente demandant environ 20 minutes j’estime que ceux qui se sont joint à la longue file à 7h AM on du avoir leur appareil vers 13h dans le meilleur des cas! (5 clients à la fois pour 15-20 minutes par client, ca fait de 15 à 20 clients servis à l’heure et à 7h ils étaient plus de 100 à attendre… faites le calcul vous-mêmes!)
C’est là que le véritable désastre commence. Apple, quoi qu’ils aient une connaissance précise du nombre de détaillants et de nombre d’unités disponible en cette journée (pour la quelle ils se préparent depuis des mois) n’avaient pas bien anticipé la charge que l’activation de tous ces téléphones via iTunes imposerait à leurs serveurs, personnellement j’ai réussi à activer le mien vers 17h30… chez Maman après 2h30 d’autoroute. Mais que les amateurs d’efficacités se tiennent bien, d’autres absurdités les attendaient. Apple offre d’ès l’activation du iPhone un essai de 60 jours sur « Mobile Me » leur service de courriel « Push » joint à un espace en ligne pour héberger photos et fichiers divers et aux services de calendrier synchrone et de contactes mis à jour... le tout par la voie des airs grâce au « Nuage » de pluies acides qu’est l’internet. (Tiens? avec le réchauffement de la planète et la crise énergétique on en entend plus parler des pluies acides… où est-ce qu’elles sont passées?)
Un million d’iPhones vendus en moins de 24h, on ne sait combiens d’abonnements (gratuits pour 60 jours) à « Mobile Me » ce service ne fonctionne que de façon très limitées. Au moment où j’écris ces lignes, il m’averti de mes nouveaux messages mais ne vient pas à bout de télécharger leur contenu! L’interface Web fonctionne correctement, heureusement, si on fait exception du drôle de bug du calendrier… Combien de temps cela prendra t’il pour que le service soit fonctionnel? Moins de 60 jours espérons le!
L’iPhone 3G est un appareil fantastique, d’une élégance et d’une ergonomie exemplaire. Après 48h d’utilisation je n’ai toujours rencontré aucun bug relié au système d’exploitation lui-même en fait l’ombre au tableau et elle est majeure c’est le lancement bâclé d’Apple tout ce qui va mal en ce moment est directement imputable à leur infrastructure et à leur mauvaise planification. Si Microsoft ou n’importe quel autre tête d’affiche faisaient une telle gaffe ils seraient aujourd’hui complètement détruits par les médias et on leur aurait attribué les pires qualificatifs, on leur promettrait l’effondrement et la désertion de leur clientèle… avez-vous-même vu un article blâmant Apple pour ses ratées des derniers jours? (j’en ai vu personnellement quelques rares exemples mais ceux cis restaient polis)
Haha Sacré Steve… il nous a encore fait un coup pendable pour voir si on l’aime encore après.
Monday, June 9, 2008
Quel la critique soit! (cruelle)
bon ca ben l'air finalement que je ne suis pas le seul à penser qu'il suffisse parfois de peu de qualifications pour devenir journaliste dans le domaine de la technologie il n'y a qu'à lire les commentaires sur le blogue de Tristan Péloquin:
http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/peloquin/?p=335#comments
Personnellement je croyais que dans un bon nombre de cas, soit les journaux assignaient les débutants ou les restants, soit que les journalistes technologiques étaient nommés après qu'on les ait vu utiliser un Mac avec succès pour la première fois ou tout simplement parcequ'on ne pouvait les congédier et qu'il fallait bien écrire un article sur l'informatique à l'occasion.
en tout les cas je continue de penser que si les sections technologiques étaient aussi bien vérifiées que la section des sports par exemple, on aurait droit à une information souvent plus pertinente et plus exacte. Mon pari est que les médias traditionnels ne savent toujours pas quoi faire de ces sujets, sont aussi peu habiles à choisir les experts qui en parleront et par conséquent traitent le milieu de l'informatique et de la technologie d'une facon souvent maladroite.
Même si je trouves celà bien drôle que le blogue de M. Péloquin soit envahi de commentaires diffamatoires il serait peut-être temps pour lui de faire ce qu'on appèle de la "modération" et censurer les commentaires qui sont carrément vulgaires ou carrément cruels. Un blogue n'est pas une tribune libre où on peut s'adonner à la diffamation sans pudeur et Technaute en tant qu'hôte a la responsabilité de filtrer le contenu hébergé sur son site qu'il soit un commentaire de visiteur ou le contenu d'un article.
Il y a une différence entre dire d'un journaliste qu'il a manqué de rigueur dans un ou des articles et carément le traiter d'incompétent. Je sais que vous, mes 16 lecteurs, comprennez cette limite.
http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/peloquin/?p=335#comments
Personnellement je croyais que dans un bon nombre de cas, soit les journaux assignaient les débutants ou les restants, soit que les journalistes technologiques étaient nommés après qu'on les ait vu utiliser un Mac avec succès pour la première fois ou tout simplement parcequ'on ne pouvait les congédier et qu'il fallait bien écrire un article sur l'informatique à l'occasion.
en tout les cas je continue de penser que si les sections technologiques étaient aussi bien vérifiées que la section des sports par exemple, on aurait droit à une information souvent plus pertinente et plus exacte. Mon pari est que les médias traditionnels ne savent toujours pas quoi faire de ces sujets, sont aussi peu habiles à choisir les experts qui en parleront et par conséquent traitent le milieu de l'informatique et de la technologie d'une facon souvent maladroite.
Même si je trouves celà bien drôle que le blogue de M. Péloquin soit envahi de commentaires diffamatoires il serait peut-être temps pour lui de faire ce qu'on appèle de la "modération" et censurer les commentaires qui sont carrément vulgaires ou carrément cruels. Un blogue n'est pas une tribune libre où on peut s'adonner à la diffamation sans pudeur et Technaute en tant qu'hôte a la responsabilité de filtrer le contenu hébergé sur son site qu'il soit un commentaire de visiteur ou le contenu d'un article.
Il y a une différence entre dire d'un journaliste qu'il a manqué de rigueur dans un ou des articles et carément le traiter d'incompétent. Je sais que vous, mes 16 lecteurs, comprennez cette limite.
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Saturday, May 24, 2008
Cessez de pirater mes sandwiches!
Après une période de calme chez « Technaute », voilà qu’ils se lancent à nouveau sur des terrains glissants et je me demande si c’est par choix ou par manque de vision si une partie de leurs histoires sont manquantes… De plus sur le site de « Direction Informatique » Nelson Dumais nous fait une amusante mais oh! Trop simpliste métaphore comparant l’entretien de son matériel informatique à un sandwich…
En réplique à cet article :
http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/peloquin/?p=327
Cet article de Tristan Péloquin qui nous rapporte les propos de son collègue du Globe and Mail ne touche, à mon avis, que partiellement la cible. Car Bell n’est nullement en conflit d’intérêts… Que (1) Bell, un fournisseur de service, décide de mettre de l’avant un nouveau service pour sa clientèle est une question complètement séparée de (2) la façon qu’il traite les petits revendeurs de connexions ADSL et le reste de sa clientelle. On parle de réglementation et de limitation pour éviter que les abuseurs nuisent au reste de la clientèle.
Il s’agit donc de deux champs complètement différents qu’à mon avis M. Péloquin n’arrive pas à faire ressortir proprement dans son article.
Si quelqu’un est en conflit d’intérêt c’est probablement moi en ce moment même. Comme je l’ai déjà dit, le P2P pour l'échange de fichiers piratés, c’est mal. Je méprise la majorité utilisateurs de ce service, même si dans certains cas j’arrive à le comprendre. (Quand il s’agit de matériel non disponible en magasins ou de logiciels libres) Mais d’un autre coté, et c’est là où je suis en conflit… il y a bien peu d’entreprises que je déteste autant que Bell… Alors je ne peux que défendre leur intention de limiter le P2P même si je leur souhaite un violent échec dans leur nouveau service de vidéo en ligne.
En réplique à cet article :
http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/dumais/?p=1002813
Nelson nous fait un beau bouquet de fleures avec tout ce qui pousse ces temps cis du coté de Microsoft. Du coté des formats de documents, de la suite Office et de la façon déroutante dont Nelson a choisi de ficeler ses deux paragraphes… c’est une question d’adaptation… purement. Beaucoup de changements dans les formats et de décisions prises dans les tribunaux et organismes de certifications forcent maintenant Microsoft (et les autres acteurs dans le domaine des suites bureautiques) à s’adapter à ces nouvelles réalités, de limiter les dégâts et finalement d’assurer le succès futur de sa gamme de produits.
Ensuite, il saute dans un autre Wagon : le VBA sur Office Mac… mais Nelson, cette situation ne te rappelle t’elle pas l’annonce de Photoshop CS4 ? Où Adobe doit renoncer à offrir une version 64bit pour Mac, suite au retrait par Apple de « Carbon » de l’arsenal des développeurs pour Mac en juin 2007?
Personnellement, je dirais que MS avait prévu offrir le VBA aux utilisateurs de Mac OS mais qu’Apple leur a coupé l’herbe sous le pied en cessant de supporter « Carbon ». Microsoft, comme Adobe doit maintenant attendre à leur prochaine édition pour offrir le support du VBA et tout redévelopper en utilisant « Cocoa », l’outil de développement restant, pour les nouvelles versions de Mac OS. Mais c’est juste mes suppositions, pensez-en ce que vous voulez…
Le point final sur cet article de Nelson, c’est son tir de barrage sur le silence relatif de Microsoft quand à son prochain système d’exploitation : Windows 7… La situation est simple Nelson, comme tu le disais toi-même dans ton blog sur les causes perdues http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/dumais/?p=1002672
Microsoft de peut pas vraiment réussir à se faire aimer. Que tu ais compris cela et que cette fois tu tires à droites et à gauche, comme si tu étais surpris de découvrir un complot de marketing crapuleux, c’est un peu fort. Pour moi en tout cas, tout cela semble bien normal, Microsoft n’a aucun intérêt à faire parler de son produit à venir tant que le public n’a pas fini de détester (à tort) son produit actuel.
A l’article de Nelson je donne (sur 10) une note de 3 pour la vulgarisation, de 5 pour la profondeur et de 8 pour la confusion. On me dira que c’est facile de critiquer… mais il y a des fois où c’est encore plus facile que d’autres.
En réplique à cet article :
http://www.directioninformatique.com/DI/client/fr/DirectionInformatique/Nouvelles.asp?id=48534
Encore une fois c’est Nelson Dumais qui excite mon esprit critique… mais cette fois par le biais de « Direction informatique » un tabloïd sur l’informatique qui vise une clientèle exécutive…
En gros l’image de l’achat de l’ordinateur comparée à l’achat d’un sandwich est bien mignonne mais pour faire une métaphore efficace il faut comparer la durée de vie des deux produits et malheureusement, on va en revenir aux sempiternelles comparaisons de l’ordinateur avec l’automobile…
Donc je vais en rester là avec le choix de la métaphore mais pour ce qui est pour l’après lunch… une fois que ton sandwich est payé et mangé… il ne sera pas mis en digestion pour une durée de 2 à 5 ans, sujet à se mélanger et à interagir avec tout ce que tu vas ingérer par la suite, ni devoir survivre à la gastro… non, en plus ou moins 24 heures il va être éliminé de ton système ou s’ajouter à une couche d’isolation passive autour de ta taille. Une drôle de logique hein ?
À chaque jour des hordes d’individus s’acharnent à empoisonner, de façons toujours plus sournoises, ton PC. (et une autre horde s’acharne à fournir des moyens de le protéger) On ne peut en dire autant du sandwich… s’il était bon, il y a peu de risques qu’il s’empoisonne une fois digéré… mais attention au prochain : il t’attend demain!
Personnellement je dois me magasiner un PC à tous les 2 ans, que voulez-vous j’ai un gros appétit pour cela, mais je continue à « perdre mon temps » à me nourrir 3 fois par jours, parfois plus… (J’ai un bon appétit pour cela aussi) Ca aussi étrangement, tout le monde semble s’en accommoder. Les mises à jour et les repas… drôle de logique non ?
Nelson, cette fois c’est 7 pour l’humour, 5 pour la vulgarisation et 4 pour le choix de la métaphore.
En réplique à cet article :
http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/peloquin/?p=327
Cet article de Tristan Péloquin qui nous rapporte les propos de son collègue du Globe and Mail ne touche, à mon avis, que partiellement la cible. Car Bell n’est nullement en conflit d’intérêts… Que (1) Bell, un fournisseur de service, décide de mettre de l’avant un nouveau service pour sa clientèle est une question complètement séparée de (2) la façon qu’il traite les petits revendeurs de connexions ADSL et le reste de sa clientelle. On parle de réglementation et de limitation pour éviter que les abuseurs nuisent au reste de la clientèle.
Il s’agit donc de deux champs complètement différents qu’à mon avis M. Péloquin n’arrive pas à faire ressortir proprement dans son article.
Si quelqu’un est en conflit d’intérêt c’est probablement moi en ce moment même. Comme je l’ai déjà dit, le P2P pour l'échange de fichiers piratés, c’est mal. Je méprise la majorité utilisateurs de ce service, même si dans certains cas j’arrive à le comprendre. (Quand il s’agit de matériel non disponible en magasins ou de logiciels libres) Mais d’un autre coté, et c’est là où je suis en conflit… il y a bien peu d’entreprises que je déteste autant que Bell… Alors je ne peux que défendre leur intention de limiter le P2P même si je leur souhaite un violent échec dans leur nouveau service de vidéo en ligne.
En réplique à cet article :
http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/dumais/?p=1002813
Nelson nous fait un beau bouquet de fleures avec tout ce qui pousse ces temps cis du coté de Microsoft. Du coté des formats de documents, de la suite Office et de la façon déroutante dont Nelson a choisi de ficeler ses deux paragraphes… c’est une question d’adaptation… purement. Beaucoup de changements dans les formats et de décisions prises dans les tribunaux et organismes de certifications forcent maintenant Microsoft (et les autres acteurs dans le domaine des suites bureautiques) à s’adapter à ces nouvelles réalités, de limiter les dégâts et finalement d’assurer le succès futur de sa gamme de produits.
Ensuite, il saute dans un autre Wagon : le VBA sur Office Mac… mais Nelson, cette situation ne te rappelle t’elle pas l’annonce de Photoshop CS4 ? Où Adobe doit renoncer à offrir une version 64bit pour Mac, suite au retrait par Apple de « Carbon » de l’arsenal des développeurs pour Mac en juin 2007?
Personnellement, je dirais que MS avait prévu offrir le VBA aux utilisateurs de Mac OS mais qu’Apple leur a coupé l’herbe sous le pied en cessant de supporter « Carbon ». Microsoft, comme Adobe doit maintenant attendre à leur prochaine édition pour offrir le support du VBA et tout redévelopper en utilisant « Cocoa », l’outil de développement restant, pour les nouvelles versions de Mac OS. Mais c’est juste mes suppositions, pensez-en ce que vous voulez…
Le point final sur cet article de Nelson, c’est son tir de barrage sur le silence relatif de Microsoft quand à son prochain système d’exploitation : Windows 7… La situation est simple Nelson, comme tu le disais toi-même dans ton blog sur les causes perdues http://blogues.cyberpresse.ca/technaute/dumais/?p=1002672
Microsoft de peut pas vraiment réussir à se faire aimer. Que tu ais compris cela et que cette fois tu tires à droites et à gauche, comme si tu étais surpris de découvrir un complot de marketing crapuleux, c’est un peu fort. Pour moi en tout cas, tout cela semble bien normal, Microsoft n’a aucun intérêt à faire parler de son produit à venir tant que le public n’a pas fini de détester (à tort) son produit actuel.
A l’article de Nelson je donne (sur 10) une note de 3 pour la vulgarisation, de 5 pour la profondeur et de 8 pour la confusion. On me dira que c’est facile de critiquer… mais il y a des fois où c’est encore plus facile que d’autres.
En réplique à cet article :
http://www.directioninformatique.com/DI/client/fr/DirectionInformatique/Nouvelles.asp?id=48534
Encore une fois c’est Nelson Dumais qui excite mon esprit critique… mais cette fois par le biais de « Direction informatique » un tabloïd sur l’informatique qui vise une clientèle exécutive…
En gros l’image de l’achat de l’ordinateur comparée à l’achat d’un sandwich est bien mignonne mais pour faire une métaphore efficace il faut comparer la durée de vie des deux produits et malheureusement, on va en revenir aux sempiternelles comparaisons de l’ordinateur avec l’automobile…
Donc je vais en rester là avec le choix de la métaphore mais pour ce qui est pour l’après lunch… une fois que ton sandwich est payé et mangé… il ne sera pas mis en digestion pour une durée de 2 à 5 ans, sujet à se mélanger et à interagir avec tout ce que tu vas ingérer par la suite, ni devoir survivre à la gastro… non, en plus ou moins 24 heures il va être éliminé de ton système ou s’ajouter à une couche d’isolation passive autour de ta taille. Une drôle de logique hein ?
À chaque jour des hordes d’individus s’acharnent à empoisonner, de façons toujours plus sournoises, ton PC. (et une autre horde s’acharne à fournir des moyens de le protéger) On ne peut en dire autant du sandwich… s’il était bon, il y a peu de risques qu’il s’empoisonne une fois digéré… mais attention au prochain : il t’attend demain!
Personnellement je dois me magasiner un PC à tous les 2 ans, que voulez-vous j’ai un gros appétit pour cela, mais je continue à « perdre mon temps » à me nourrir 3 fois par jours, parfois plus… (J’ai un bon appétit pour cela aussi) Ca aussi étrangement, tout le monde semble s’en accommoder. Les mises à jour et les repas… drôle de logique non ?
Nelson, cette fois c’est 7 pour l’humour, 5 pour la vulgarisation et 4 pour le choix de la métaphore.
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